Le fluor nous empoisonne

On donne du fluor aux enfants pour, dit-on, éloigner les caries dentaires. Le fluor est un poison. Neurotoxique. Il provoque, de plus, une atteinte du squelette.

Il est bon de s’arrêter quelques instants sur cet oligo-élément qui, sous la forme de fluorure de sodium, est souvent ajouté dans le sel de table, dans les dentifrices et même dans l’eau du robinet de certains pays (au Canada par exemple, ou dans plus de 70 % des villes des USA).

Car, finalement, on ne nous a jamais réellement mis en garde.

L’Autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA) considère que le fluor n’est pas un élément essentiel à la croissance ou au développement humain. En toxicologie, le fluor est même reconnu comme étant aussi toxique que l’arsenic, le mercure et le plomb (1).

Selon un rapport de l’Unicef datant de 1999 (2) « le fluor réduirait la carie dentaire en empoisonnant les enzymes des bactéries localisées dans la bouche (le fluor est un poison enzymatique). Le fluor agirait également par contact direct sur les dents en se liant aux ions calcium, provoquant le renforcement de l’émail ».

Côté pile, le fluor permettrait donc, au contact des dents (et surtout pas en ingestion !) de renforcer l’émail dentaire (gardons le conditionnel pour cette affirmation, certaines études épidémiologiques démontrent le contraire).

Côté face, le bilan est moins réjouissant. Le même rapport Unicef explique qu’il « est universellement reconnu que le fluorure entraîne une perte de calcium à partir de la matrice de la dent. La carie s’aggravant tout au long de la vie ; provoquant ainsi la fluorose dentaire. Par ailleurs, la surexposition cumulative peut causer la paralysie incurable du squelette ».
Pour la santé, c’est pas gagné !

Le fluorure entraîne une perte de calcium à partir de la matrice de la dent. La carie s’aggravant tout au long de la vie.

D’autant que « la consommation chronique de fluor peut conduire à des déformations graves et permanentes des os et articulations : la colonne vertébrale, les articulations majeures, les muscles et le système nerveux sont endommagés.
La fluorose est irréversible et aucun traitement n’existe. »

Par ailleurs, le fluorure fait partie des substances que l’organisme ne parvient pas à éliminer totalement. 50 % du fluor ingéré s’accumule dans le corps humain toute la vie durant. Les effets d’une prise régulière deviennent cumulatifs.

Le fluor entre dans la composition des insecticides et des bactéricides (c’est la substance la plus efficace pour tuer les rats). Il constitue également un ingrédient de base commun aux médicaments psychiatriques, hypnotiques et anesthésiques ainsi qu’aux gaz neurotoxiques. En particulier, c’est l’un des composants du Prozac (camisole chimique) et du gaz Sarin. Du reste, le fluor est utilisé dans le rohypnol, considéré comme la drogue des violeurs.

Le fluor entre dans la composition des insecticides et des bactéricides. Il constitue également un ingrédient de base commun aux médicaments psychiatriques, hypnotiques et anesthésiques.

En 2006, un rapport du Conseil national de la recherche des États-Unis, mettait en garde contre les effets du fluorure sur le cerveau et l’intelligence des enfants. (3) « La possibilité, soulevée par les études menées en Chine, est que le fluorure pourrait réduire les capacités intellectuelles », peut-on lire page 187.

Du reste, le IIIe Reich donna l’ordre de mélanger du fluor à l’eau potable destinée aux prisonniers des camps de concentration. Ainsi l’affirme en 1954, le chimiste Charles Perkins (4), chargé, après la guerre, d’administrer les biens des usines chimiques d’I.G. Farben. Celles-là même qui produisaient le fluor.

Cette distribution avait pour but de réduire la fertilité des prisonniers et de maintenir la discipline dans les camps, grâce aux effets sédatifs du fluor (le fluor engendre une lobotomisation chimique).
Pour compléter la liste, le Conseil national de la recherche des USA souligne que le fluorure aurait des effets sur le système endocrinien, sur la glande thyroïde, la glande pinéale, sur l’insuline, sur le système immunitaire, reproducteur, digestif, sur le foie, les reins…

Heureusement, en France et malgré de fortes tentations, l’eau du robinet n’est pas fluorée. Le contraire reviendrait à une médication forcée de toute la population.

Outre, le fluorure de sodium, déchet chimique de l’industrie de l’aluminium, dont nous venons de parler, des fluorures organiques existent également à l’état naturel. Leur toxicité est variable. Le fluorure de calcium inerte ou fluorine est relativement peu dangereux (il est combiné avec d’autres éléments naturels qui absorbent et neutralisent ses effets).

L’infime quantité de fluor dont nous avons besoin se trouve très largement dans notre alimentation. Il s’agit du fluoro-phosphate de calcium (sel organique soluble dans l’eau) que digèrent les végétaux et que l’homme peut métaboliser.

 


1. Selon la American Clinical Toxicology of Commercial Products (5e édition), le fluor est plus toxique que le plomb et à peine moins toxique que l’arsenic.
Selon le Dr. Charles A. Brusch, ancien directeur du Massachusetts Medical Center de Cambridge, le fluor est un poison protoplasmique quinze fois plus puissant que l’arsenic.

2. Waterfront n°13. P 11. Décembre 1999. A Unicef publication on water, environment, sanitation and hygiène.
Téléchargement : uni.cf/1U0LHsP

3. Fluoride in Drinking Water. A Scientific Review of EPA’s Standards (2006) 530 p.

4. Rapport de M. Charles Perkins à la Lee Foundation for Nutritional Research (Fondation Lee pour la recherche en nutrition) de Milwaukee, Wisconsin, le 2 octobre 1954.

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